Fini les noms de joyaux, de pierres précieuses ou les différentes couleurs, les 2 nouveaux titres Pikapika ne sont pas du tout Gris ou Marbre, mais plutôt : “Pokémon Version Blanche 2”. Une suite, un remake ? Encore la team Plasma ou d’autres ennemis ? C’est toujours le studio Game Freak qui est aux manettes pour une originalité pour cette fois : créer une suite à un jeu Pokémon.
Histoire :
Le scénario n’a jamais été le point fort des jeux Pokémon, mais les jeux précédents Noir et Blanc bénéficiaient quand même d’une histoire un peu plus construite avec des personnages un peu plus intéressants, c’est aussi le cas dans cette suite. L’histoire reprend deux ans plus tard dans la région d’Unys mais d’une autre vile avec un nouveau héros qui obtient son premier Pokémon (entre trois) de la part de Bianca (assistante du professeur Keteleeria) l’amie d’enfance du héros dans le jeu précédent. Au fil du temps et des combats, on en apprendra plus sur ce qui est arrivé à la Team Plasma en aidant le héros rival à retrouver un Pokémon volé.
Gameplay :
Le jeu contient dès le départ 300 Pokémons, c’est beaucoup. Et permet d’échanger dès le début des bestioles avec les jeux Noir et Blanc #1 et ainsi commencer avec un bon cheptel de départ. Les lieux seront évidemment familiers mais ils ont été entièrement modifiés pour tenir compte de ce décalage de 2 ans dans le futur, avec comme cerise sur le gâteau la présence d’une arène à Port Yoneuve pour participer à des tournois permettant d’affronter des dresseurs bien connus comme Red, Pierre, Ondine ou Giovanni. Des minis-quêtes compétitives viendront aérer les combats. 26 Pokémons sont présents uniquement dans la version blanche, ainsi que des lieux exclusifs à cette version comme : la Forêt Blanche, l’arbre creux Blanc et des lieux identiques mais modifiés comme la Route 4, Janusia, la Grotte, Parsemille, La Frégate Plasma et la Route Victoire.
Parmi les grosse nouveautés communautaires du jeu : vous pourrez gérer une avenue remplie de commerces (disposant même d’un dojo d’entraînement et un salon de beauté pour Pokémon), pour les faire vivre il vous faudra des clients (de base il y aura les bots), et plus vous croiserez de monde en jeu Wifi plus vous aurez de potentiels nouveaux clients/commerçants dans votre quartier. Vous aurez à vendre des produits pour les dresseurs et plus vous progresserez plus votre stock sera intéressant.
Une autre fonctionnalité très intéressante est la simulation de studio de cinéma d’Hollywood, appelée Pokéwood. Vous pourrez y réaliser 40 films avec les Pokémons, avec des scénarios différents et des résultats à obtenir au box office local.
Il y a un sacré avantage à jouer sur Nintendo 3DS : la possibilité d’acheter le jeu Radar Pokémon sur l’eShop pour chopper certains Pokémon légendaires indisponibles si vous jouez sur Nintendo DS uniquement.
Graphismes :
Les limites de puissance de la Nintendo DS ont été atteintes depuis un bon moment, mais les graphismes restent jolis. On attend avec impatience le premier Pokémon sur 3DS pour enfin vivre un vrai changement visuel.
Bilan :
“Pokémon Version Blanche 2” est une digne suite de l’épisode précédent avec encore plus de contenu et tellement d’activités parallèles qui sont des jeux à part entière, cependant l’histoire n’est pas vraiment passionnante, surtout pour ceux qui n’ont pas joué au précédent volet.
Note : 15/20